
Ça reste toujours drôle et brillamment exploité…
J’avais rencontré le même problème chez Laureli il y a un an avec un livre qui aurait dû s’appeler L’Enculée et qui finalement porte un autre titre (je ne révèle pas lequel à ceux qui ne l’ont pas lu parce que ça gâche la surprise). Changement pas seulement à cause des hauts cris de l’attachée de presse (« Non mais tu me vois appeler les journalistes : “ Avez-vous aimé L’Enculée” ?!) mais parce que dans ce cas précis, narrativement, l’arrivée de « L’Enculée » fonctionne mieux dans le cours du texte que plein pot en ouverture. C’était un peu punk pétard mouillé. « L’Enculée » hoquette mieux en premières pages.
Quoiqu’il en soit, apprendre qu’on avait offert Mon cul de Danny Steve à une grande fille aux cheveux courts pour son anniversaire m’a permis de découvrir son œuvre que j’aime beaucoup et à côté de laquelle j’avais réussis à passer (contorsionniste, va !) malgré mon addiction aux Requins marteaux. Je vous conseille donc d’y jeter un œil et même tous ceux dont vous disposez ainsi qu’au blog d’une librairie lyonnaise, tout récent, Grand-Guignol, que j’ai repéré sur le site de Danny Steve. Vous y retrouverez aussi la boutique mp3 martialfunk dont on parlait au tout début de RLR…
http://enculer-revue.net/
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