
(Intime dédicace à Berlol).
Avec ma cousine Laure (hé oui), on rit encore tendrement de ce fard à paupières vert pintade qui a hanté les années 70/80. Trois ou quatre fois par an, je tente moi-même le vert pintade. Et même si c'est une pintade japonaise hors de prix de chez Shu Uemura (acquise malgré la virulente désapprobation de la vendeuse qui me faisait miroiter moult bruns et anthracites et à qui le rétorquais « Mais c’est une madeleine ! » de sorte qu'elle céda, persuadée que j'étais atteinte d'une maladie mentale ou d'un daltonisme fâcheux - c'est sans doute pour cela qu'elle me colla d'office sur les joues un blush couleur chamallow, censé donner bonne mine et qui me fit ressembler à une poupée russe, notable exploit), je finis toujours par me démaquiller avant de sortir.
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