mardi, février 16, 2010

« L’idée la plus insensée que jamais femme pût concevoir. C’est-à-dire, aimer. »

Quelque chose manquait depuis longtemps, pas si longtemps – si l’on tente de mesurer le temps de façon un tant soit peu rationnelle ou classique, juste le temps compté du sain redémarrage – mais trop longtemps : les publications de Désordres, la maison d’édition de Laurence Viallet qui porte à présent son nom, en toute indépendance.

On a parlé ici de la fresque Yapou, bétail humain de Shozo Numa 1, 2 et 3, des Grandes espérances de Kathy Acker, on a dévoré Peter Sotos, David Wrojnarowicz… C’est donc avec une impatience fébrile qu’on attend le Quichotte de Kathy Acker – dans une traduction de Laurence Viallet –, une pièce maîtresse de cet écrivain indispensable. Il paraîtra le 18 mars.

En attendant, vous pouvez découvrir ou relire les publications de Désordres ou encore cet entretien paru chez Boojum.

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