Le Salon du Livre m’a tueR
Rougelarsenrose quelque peu délaissé et quelques piles de livres à lire mimant des maquettes pour tours science-fictionnelles à hauteur déraisonnable… Je n’ai pas vu passer les deux derniers mois et risque de ne pas voir passer les prochains non plus : du Laureli, bien sûr, mais des projets personnels, aussi, ce qui transforme mon emploi du temps en marche forcée. Ce n’est pas forcément désagréable, juste très fatiguant et un chouilla anxiogène. Les week ends n’ont plus aucune signification et le mot « vacances » recèle un exotisme forcené. Mais dès que je récupère un bout de cerveau et une forme relative – sans doute dans peu de temps, façon Phœnix 2.0 –, promis, je refais surface…
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