Mademoiselle Laure
Dans l’hypothèse folle où mon postier (celui qui s’occupe des colis) serait lecteur de ce blog – et étant incapable de déposer la moindre réclamation auprès de son supérieur – je voudrais lui signaler que mon nom de famille est « Limongi » et que l’indication « Mademoiselle Laure » ne suffit pas à me désigner parmi la trentaine de boîte aux lettres de l’immeuble. Par sa faute, je suis en manque de sencha depuis 3 jours – l’heure est grave. De surcroît, je crains une missive du syndic de copropriété me rappelant fort sérieusement que suite au vote du 3 novembre 2004, la copropriété, en accord avec la législation en vigueur (loi Marthe Richard du 13 avril 1946), a formellement interdit toute activité prostitutionnelle organisée au sein de l’immeuble et ce, même en temps de « crise »… J’ai bien vu la tête de la voisine qui a récupéré l’avis de passage adressé à « Mademoiselle Laure »…
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