mercredi, novembre 15, 2006

Pain Killers mes amis…



Quand je pense que j’avais réussi à me convaincre de l’intérêt et de la drôlerie d’une invit’ inattendue au Lasserre – avec célébration de Michel Schneider en prime –, tout ça pour la louper à la dernière minute pour cause de baptême de morphine… (nouveau coming’in à prévoir ?) Enfuie la séquence Disney…

Ça rappelle les oreillons aux sports d’hiver, les genoux couronnés avant carnaval, l’énooorme bouton la veille de la boum, la rage de dents pendant le concert…

C’est un drôle de moment – mais c’est le seul que j’ai trouvé, faute de – pour se plonger dans le dernier Peter Sotos, commotionnant et cru. Peut-être cette fébrilité fortuite pourrait-elle exprimer un état de vulnérabilité à rechercher pour se laisser, atteindre, justement, par des écritures et des expériences de l’excès. Pas au sens propre bien sûr. Juste déstabiliser ses attentes, ses réflexes de lecture, ses rejets. Et goûter la constellation offerte par Laurence Viallet à travers les éditions Désordres – qui viennent de publier un nouveau livre : Émile perverti de René Schérer… va falloir passer à la Vitamine C pour faire diminuer un peu les piles « à lire »…

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