Les synonymes « vrais » n’existent pas
(Souvenir lexicographique)
Je tiens juste à signaler qu’il existe une différence d’inflexion majeure entre « … on est toujours tout seul au monde… » (sentiment de déréliction ontologique avec une jolie esthétisation en mineur – pour les soirs de pluie) et « … parlez moi d’moi ya qu’ça qui m’intéresse » (quand le nombril gagne du terrain jusqu’à bouffer le cerveau).
C’est pas du pinaillage, c’est de la survie – dans le monde (de manque) tel qu’il est. Et puis on n’est pas encore le dernier survivant d’un roman de Céline Minard (encore un peu de patience avant d'en savoir plus)…
So (non non, là je plaisante)...
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