Stéphane Bérard et Stéphane Bérard
Donc, livres & hachis parmentier, c’était plutôt expo & fruits de mer mais c’était déjà la semaine passée, vernissage Stéphane Bérard à la Galerie Marion Meyer : « Architecture, chômage, design ». Stéphane Bérard et non pas Stéphane Bérard (qui mériterait d’être une invention de Stéphane Bérard), il faut le préciser.
Passant en toute hâte devant la vitrine de la galerie (sans la reconnaître, je suis souvent dans la lune), comme à mon habitude – rater le lieu du rendez-vous en craignant mon retard, ce qui m’assure toujours de l’être et de me retrouver hébétée cent mètres plus loin – je me disais qu’elle avait été salement vandalisée. Ou plus exactement, que les vandales avaient bien pris leur temps et qu’ils avaient même dû venir avec un escabeau ou des frondes. Mais c’était, bien sûr, une œuvre de Stéphane, œuvre-proposition de paysage urbain. Vitrine de galerie elle est aussi couverture de son Ce que je fiche II (Al Dante/Questions théoriques, collection Réalités non couvertes) et qui ferait, soit dit en passant, un fort adéquat cadeau de Noël à l’attention de votre neveu qui veut donner dans le Sub de Co par désespoir – peut-être finira-t-il aux Beaux arts ? Donnez-vous cette chance.
Trève de, vous savez tout le bien que je pense de ce travail salutaire, j’en ai déjà parlé, et je ne suis pas la seule.
Al Dante publie également la traduction intégrale de L’Enfer de Dante par Stéphane Bérard – qui déplace L’Enfer en le circonscrivant au plus aigu – ainsi qu’un double disque de l’artiste/auteur/traducteur/musicien : CD 1 « Erik ça tue (d’après) », CD 2 « Tour de chant ».
Alors, je rectifie, L’hiver sera Bérard, ce qui n’exclut pas de porter une adaptation française du tartan.
2 commentaires:
Stéphane Bérard, un artiste présent dans l'exposition collective du bricolage à Immanence, 21 Avenue du maine à paris.
Je tiens à vous remercier pour le lien, même si ce remerciement est très tardif...
You're welcome, dear.
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